Ah ! laisse-moi t'aimer, non d'un amour profane,
Mais de cet amour saint, tendre, immatériel,
Qui rend le cœur plus pur, l'âme plus diaphane,
Qui joint la terre au ciel !

Douce communion qui réunit deux âmes,
Comme deux blancs ramiers fondant, d'un même essor,
L'éther qui, sur leurs cols, fait reluire des flammes
Et des paillettes d'or.

Dieu m'a mis dans le cœur une lyre immortelle ;
Quand je me penche en moi je l'entends soupirer ;
Mais il faut une main qui se pose sur elle
Et la fasse vibrer.

Sois cette main savante, ose toucher la lyre,
Pose sur le clavier l'ivoire de tes doigts ;
Elle va s'éveiller en hymnes de délire
Et répondre à ta voix.

Alors j'aurai pour toi des chansons merveilleuses,
Telles qu'aux nuits de mai, sous le ciel espagnol,
Dans les bois de Grenade, aux roses amoureuses,
Chante le rossignol.

Ma mélodie aura la douceur des louanges
Que modulent en chœur les esprits purs des cieux ;
Je croirai voir passer dans un songe les anges,
En regardant tes yeux.

Ah ! laisse-moi t'aimer, et peut-être toi-même
Un jour à ton insu te laisseras charmer :
C'est un amour si pur que celui dont je t'aime !

Ah ! laisse-moi t'aimer !

Ma plume pleure des larmes d'amour.

L'encre de mes Je t'aime se fait poème.
Belle lettre à toi que j'aime depuis toujours.
Des mots d'amour que mon cœur sème.

J'ai tenté mille fois de trouver les mots,
J'ai usé deux cahiers et brisé trois stylos.
J'ai froissé et jeté deux cent feuilles de papier.
Mon amour est trop fort, je ne peux abandonner.

Il n'y a pas de mots assez puissants
Pour te dire vraiment ce qu'au fond je ressens,
Te dire combien je t'aime et à quel point tes yeux
Font scintiller mon cœur d'un éclat merveilleux.

Pardon de n'avoir pas inventé mieux que cela.
Je me sens misérable et honteux à la fois.
Je rêvais en secret, ma plume m'a trahi,
Ton amour viendra t-il un jour embellir ma vie ?

Reçois cette tendre poésie qui te dit combien je t'aime.
Je t'offre mon cœur amoureux caché en ce poème.
Un doux baiser de toi serait un cadeau de la destinée.
Voilà ma seule joie, mon bonheur tant espéré.

Avec tout mon respect.

Mon Ange,

Mon île,
L'étincelle qui m'éveille chaque matin,
Car ma première pensée est pour toi.
Elle apporte la chaleur en mon coeur
Et souligne mes lèvres d'un sourire...

Mon Ange,
Mon univers,
La tendre présence qui accompagne mes jours.
Même lorsque tu es loin de mes yeux
Mon esprit reste emplit de toi...

Mon Ange,
Mon Eden,
Cette douce lumière qui envahit mes nuits,
Veille silencieusement sur mon sommeil
Et chasse les ombres de mes songes...
J'aimerais trouver d'autres mots...

Mon Ange
Mon Idéal

J'aimerais de mes doigts,
Avec le fil de mon amour,
Broder sur ta peau,
L'image de ma passion.




Le soleil, ton visage et la mer
Ont chassé pour toujours mes hivers
Sur le sable de la plage
Ton visage faît pâlir la lumière
Le soleil, je le vois dans tes yeux
Et la mer sent bon dans tes cheveux
Sur le sable tu te dores, je t'adore
Et tout est merveilleux
Mais le soleil vient jouer sur ton corps
La mer te prend au creux de ses bras
Alors j'attends l'heure où tout s'endort
Pour que tu sois enfin toute à moi
Quand la mer se retire à minuit,
Le soleil, lui aussi s'est enfui
Pour que reste sur la plage

Ton visage, et nos corps et la nuit

Vagues au reflux chantant pour nos ombres mouvantes
D'une même lumière brillent nos yeux moi, j'étincelle
Mon coeur ne maitrise plus cette flamme émanant
Et luit à ton image comme l'eau le bleu du ciel
Le vent du crépuscule fait danser tes cheveux
Ta peau sous le soleil se pare de mille couleurs
L'astre jalouse ma chance mais, je vis au seul feu
De l'envie de connaître de tes mains la chaleur
D'attendre, c'en est trop, de languir, c'est fini
Je n'ai qu'une vérité pourrais je la contenir?
Tu avives mes ardeurs, attises ma folie
Et tout m'amène à toi et à ton souvenir
Nous marchons côte à côte, devant toi je me campe
Et tes mains je saisis, vivement je te fais tomber
Sur moi de tout ton long, sur mon coeur tout en transe
Tu ris et indignée tu tentes de m'échapper
Vivement, je te renverse du regard et je te dévore
De caresses je t'inonde plus que l'ondée de ton corps
Cette fougue te déroute et ta bouche dessine

Sur la mienne quelques traits de passion assassine

Ta beauté est la huitième merveille du monde

Ta beauté est la plus belle des lumières qui m'inonde

Ta beauté est une chaleur réconfortante et câline

Ta beauté est une caresse amoureuse et féline



Ta beauté irradie l'univers de somptuosité

Ta beauté est une source d'inspiration passionnée

Ta beauté est l'unique euphorie de mon cœur

Ta beauté scintille mon âme de bonheur



Ta beauté ne flétrit pas avec le temps

Ta beauté constelle de douceur le firmament

Ta beauté est immortelle et mordorée.

Ta beauté n'égale nulle autre beauté