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Parfois une amitié convient mieux qu'un amour
Ce lien fort ne peut s'expliquer avec des mots
Souvent, on peut aimer ses amies pour toujours
Grâce à leur présence qui guérit tous nos maux
C'est l'épaule sur qui on peut se reposer
C'est un cœur toujours prêt à vous écouter
Des paroles sensées destinées à vous aider
Des gestes délicats pour vous rassurer
Vos secrets cachés, il saura les préserver
Des conseils futés, il aime en donner
Qu'est ce qu'on ferait de nos vie sans posséder
Un ami pour la vie et pour l'éternité.
Car l'amitié c'est aussi
Une main qui nous soutient
Dans la douleur et le désaroi
C'est une oreille qui écoute
Tantôt dans la peine , tantôt dans la joie
C'est un regard qui voit
Jusqu'au plus profond de notre âme
Sans jamais se faire juger
C'est un cœur qui s'ouvre
Et jamais ne se referme
L'amitié c'est le plus beau des refuges.
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La nuit est si belle
Qu'elle permet rêve et espoir !
Pourrais-tu te joindre à elle
Pour calmer mon cœur du désespoir
Je regarde toutes ces étoiles
Qui percent dans ce bleu noir
Pourrais-tu être celle
Qui guide et devient espoir
Belle dame de la nuit
Qui nous éclaire dans le noir
Pourrais-tu être celle qui luit
Et faire de mon amour, un miroir
Est-il bien vrai qu'avec moi tu veux vivre,
Qu'un doux penchant m'a nommé ton vainqueur ?
Est-il bien vrai que du feu qui m'enivre
Une étincelle a passé dans ton cœur ?
Non, ce n'est point un aveugle délire :
Je suis aimé, tes lèvres me l'ont dit.
Dans tes regards, où les miens ont su lire,
En traits de feu mon bonheur est écrit.
Mon chérie ! Moitié de moi-même !
Ange d'amour ! ange qui m'as charmé !
Redis-le-moi ce mot sacré !
Enivre-moi du bonheur d'être aimé !
Aimé de toi ! vivre au fond de ton âme !
De mon image occuper ton réveil !
Et quelque fois, dans un songe de flamme,
D'un doux prestige agiter ton sommeil !
Contre mon sein frémissant de tendresse,
Presser ton sein de plaisir palpitant,
Et savourer, plein d'une double ivresse,
Un siècle entier dans un rapide instant !
Comme une rose épanouie à peine,
Pour me nommer voir tes lèvres s'ouvrir,
Et sur ta bouche, éperdue, hors d'haleine,
Sentir mon âme, et trembler, et mourir !
Ah ! ce bonheur qu'aux dépens de ma vie
Auraient payé ma constance et ma foi,
Dieux immortels ! que l'on me porte envie...
Ne soyez pas jaloux... ce bonheur est à nous
C'est un mélange qu'est la vie
Et de chagrin et de plaisir ;
Elle offre une route fleurie,
Mais l'épine se fait sentir.
De cette douleur qu'elle cause
Le remède est tout à côté ;
Persistez et cueillez la rose
Sur les lèvres de la beauté.
Si de l'inconstante fortune
Un jour j'éprouvais les rigueurs,
Jamais une plainte importune
Ne réclamerait ses faveurs.
L'intérêt, la suivant sans cesse,
Maudit son infidélité :
Moi j'irais chercher la richesse
Sur les lèvres de la beauté.
Peut-être une fièvre brûlante
Viendra-t-elle assiéger mes jours,
Et de sa pâleur effrayante
Rebuter l'essaim des Amours :
Mais que ma maîtresse chérie
Un instant vienne à mon côté,
Et je retrouverai la vie
Sur les lèvres de la beauté.
Tes yeux sont couleur bleu
Comme cette couleur qui éblouit la mer
Et comme chaque regard sur tes yeux
Je me crois en train d'admirer ta beauté légendaire
Ton sourire est si radieux
Qu'il me rend heureux
Et mes yeux y sont fixés
Plus moyens de les décoller
Ton visage est tout simplement fabuleux
Tu as tout pour nous rendre heureux
Avec tes yeux bleus
Et ton sourire radieux
Avec ton si beau visage
Tu fais fondre le paysage
Qui se transforme en un palais
Où tout le monde t'attend pour pouvoir te vénérer
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